LAVER LE CIEL EN MANGEANT LA TERRE
ENCOOORE, Biarritz
Du 12 octobre au 5 novembre 2023
Avec Camille Benbournane, Grégory Cucquel, Calypso Debrot, Suzanne Husky et Léa Lourmière
Commissariat d’exposition, Margaux Henry-Thieullent et Lena Peyrard
Au cœur de l'exposition Laver le ciel en mangeant la Terre, se tient le geste répétitif, celui qui soigne, qui nettoie, qui purifie. Ces actes qui, de prime abord, semblent modestes et insignifiants, se révèlent être des manifestations puissantes de résistance, des gestes politiques et des sources d'énergie créatrice inépuisables. Ainsi l'exposition devient un sanctuaire où les œuvres agissent comme un baume et interrogent nos rituels de guérison collective.
Car s'il s'agit ici de laver le ciel des maux du monde, l'eau se dévoile comme un symbole de purification des corps et des âmes. Depuis les temps immémoriaux, les communautés du monde entier se sont rassemblées autour de points d'eau pour se nourrir, se laver, se rassembler et se connecter avec leur environnement. Laver le ciel en mangeant la Terre invite ainsi à méditer sur la place du corps au sein du collectif, à explorer la sphère de l'intime tout en célébrant les lieux publics comme des espaces de rassemblement, de liberté et d'émancipation.
Les artistes présenté·es au sein de l'exposition témoignent de la crise du sensible qui nous entoure, et tous·tes font acte de survivance. Ensemble, sans faire d'éclat, ielles nous invitent agir en conscience et semblent tendre un miroir réfléchissant nos espoirs et notre désir profond de guérison et de renouveau. Laver le ciel en mangeant la Terre est un refuge. Mieux, un lavoir. Il célèbre ce qui est lattent et prône le geste hasardeux qui cherche, comme l'évoque Starhawk, “à se connecter avec la racine, le cœur, la source de la vie par la transformation ici et maintenant de nos relations”.
ENCOOORE, Biarritz
Du 12 octobre au 5 novembre 2023
Avec Camille Benbournane, Grégory Cucquel, Calypso Debrot, Suzanne Husky et Léa Lourmière
Commissariat d’exposition, Margaux Henry-Thieullent et Lena Peyrard
Au cœur de l'exposition Laver le ciel en mangeant la Terre, se tient le geste répétitif, celui qui soigne, qui nettoie, qui purifie. Ces actes qui, de prime abord, semblent modestes et insignifiants, se révèlent être des manifestations puissantes de résistance, des gestes politiques et des sources d'énergie créatrice inépuisables. Ainsi l'exposition devient un sanctuaire où les œuvres agissent comme un baume et interrogent nos rituels de guérison collective.
Car s'il s'agit ici de laver le ciel des maux du monde, l'eau se dévoile comme un symbole de purification des corps et des âmes. Depuis les temps immémoriaux, les communautés du monde entier se sont rassemblées autour de points d'eau pour se nourrir, se laver, se rassembler et se connecter avec leur environnement. Laver le ciel en mangeant la Terre invite ainsi à méditer sur la place du corps au sein du collectif, à explorer la sphère de l'intime tout en célébrant les lieux publics comme des espaces de rassemblement, de liberté et d'émancipation.
Les artistes présenté·es au sein de l'exposition témoignent de la crise du sensible qui nous entoure, et tous·tes font acte de survivance. Ensemble, sans faire d'éclat, ielles nous invitent agir en conscience et semblent tendre un miroir réfléchissant nos espoirs et notre désir profond de guérison et de renouveau. Laver le ciel en mangeant la Terre est un refuge. Mieux, un lavoir. Il célèbre ce qui est lattent et prône le geste hasardeux qui cherche, comme l'évoque Starhawk, “à se connecter avec la racine, le cœur, la source de la vie par la transformation ici et maintenant de nos relations”.
Margaux Henry-Thieullent & Lena Peyrard